Environnement et Biodiversité
Lieu
Écourt-Saint-Quentin, France
Parrain
Paul Mousty
Dotation
32 000 € au Comité du 30/11/2004
Porteur du projet
La vie active
« Les valeurs défendues par La vie active sont les mêmes que celles que nous défendons dans nos métiers : respect de l'environnement et des hommes qui nous font confiance. Je tiens à souligner l'intérêt de ce projet qui répond à un besoin social en organisant une activité solidaire pour des jeunes en difficulté. »
Paul Mousty
Depuis quarante ans, l'association La vie active prend en charge dans le Pas-de-Calais l'éducation et l'insertion de personnes handicapées ou en difficulté sociale. Elle y gère une soixantaine de centres de services, de formation ou d'hébergement.
Afin d'aider particulièrement les jeunes qui fréquentent ses établissements (ils sont environ 2 500), elle souhaite développer une activité de pêche permettant d'acquérir des comportements autonomes et responsables vis-à-vis de soi-même, de la nature et des autres usagers.
Un terrain de 30 hectares
Dans ce but, elle a fait le projet d'aménager le site des Éclusettes appartenant à la commune d'Écourt-Saint-Quentin (à 20 km d'Arras). Là, les jeunes pourront se familiariser au respect de l'environnement au bord de l'étang d'Écourt-Paluel et dans les bois environnants. Pour l'apprentissage de la pêche, ils bénéficieront d'un moniteur de leur partenaire Artois Scarpe Association, les éducateurs de La vie active se chargeant de l'encadrement général et des cours théoriques (écologie, réglementation, etc.).
Mais, pour répondre aux critères d'accueil du public et aux besoins d'accessibilité spécifiques lorsque l'on se déplace en fauteuil ou avec des béquilles, La Vie Active doit effectuer un certain nombre de travaux pour viabiliser le site : aménagement des berges et des locaux où se dérouleront les cours théoriques, construction de sanitaires adaptés, mise en place d'un système autonome de traitement des eaux usées, etc.
La fondation Veolia a choisi d'aider financièrement ces travaux d'aménagement afin que les jeunes les plus défavorisés découvrent, eux aussi, le plaisir de sentir «mordre à l'hameçon».