Social et emploi
Lieu
Saint-Sébastien, France
Parrain
Olivier Relotius
Dotation
20 000 € au Comité du 08/02/2005
Porteur du projet
Pin de Vie la Traversière
« J'ai rencontré Monsieur Jail, le directeur de l'association. Le projet Pin de Vie correspond parfaitement à l'esprit de la fondation Veolia. Il est solide, bien mené et toujours pérenne : 15 ans d'existence déjà ! »
Olivier Relotius
L'association Pin de Vie la Traversière, créée en 1989 à Saint-Sébastien (dans le Sud de l'Isère), accueille et forme un public cumulant plusieurs difficultés : polytoxicomanies, délinquance, chômage longue durée, errance.... Ce public n'a, bien souvent, jamais connu l'emploi.
Reconnue comme atelier d'aide à l'insertion, Pin de Vie la Traversière allie la protection de l'environnement - elle prend en charge des travaux forestiers et l'entretien des berges de cours d'eaux - à l'insertion de personnes en grande difficulté. Les personnes accueillies réapprennent le goût de l'effort, le respect des horaires, le code du travail et retrouvent progressivement un équilibre de santé physique et mental.
Elles bénéficient de formations et établissent un projet professionnel. Leur suivi social et professionnel individualisé est assuré par une animatrice connaissant bien les problématiques liées à l'insertion.
Des investissements autofinancés dans trois ans
De robustes chevaux comtois, bien adaptés au terrain de montagne, font partie de l'équipe.
Pour élargir ses activités, consolider les postes de permanents et augmenter sa capacité d'accueil en créant à terme 19 postes CES , Pin de Vie avait besoin d'un coup de pouce.
Les objectifs étaient multiples : mise en conformité des équipements, amélioration des conditions d'hébergement ou encore acquisition d'un véhicule pour assurer les nombreux déplacements du personnel sur les lieux de chantiers.
Un budget prévisionnel sur trois ans prévoyait l'autofinancement des investissements au cours de la dernière année. Le soutien de 20 000 euros Accordé par la fondation Veolia a permis à l'association de remplacer son ancien tracteur utilisé pour les chantiers de débardage qui ne répondait plus aux normes de sécurité du personnel.